Le restaurant Au Crocodile* à égast en mode bistrot !
Le chef étoilé Romain Brillat, le directeur de salle Amaury Barbado, et leurs équipes, sont dans les starting-blocks pour offrir un avant-goût de l’ADN du restaurant emblématique strasbourgeois Au Crocodile*, à travers des plats signature de la maison, revisités en mode bistrot de haut niveau.
En place depuis deux ans, le chef Romain Brillat a su décrocher l’étoile dès sa première année aux fourneaux de l’incontournable restaurant Au Crocodile*. En salle, Amaury Barbado s’est illustré en obtenant le titre de « Jeune Talent service en salle Grand Est » du Gault & Millau. À eux deux, entourés d’une belle équipe motivée, ils ont su marquer de leur empreinte le restaurant Au Crocodile* qui avait connu quelques mois tumultueux avant leur arrivée. Aujourd’hui, les maestros du restaurant de Cédric Moulot ont décidé de sortir de leur zone de confort et de donner un aperçu de leur talent aux visiteurs d’égast. « Cela fait deux ans que nous sommes là, mais tout le monde n’a pas eu l’occasion de venir nous voir, rappellent-ils. Avec le salon, nous souhaitons gagner en visibilité. »Au menu, « fournir une prestation haut-de-gamme, mais en mode bistrot ou brasserie, précisent-ils. Étant sur un salon, nous ne pouvons faire un service sur plateau comme au restaurant, mais nous proposerons sensiblement les mêmes plats, élaborés avec les mêmes produits. »
Foie gras d’oie en gravlax turbot façon grenobloise, coquelet à la truffe… Le bistrot en mode Croco, cela reste du – très – haut niveau ! « Certaines personnes s’attendront au même service qu’au restaurant, mais nous ne pouvons bloquer trente couverts, rappelle Romain Brillat. Mais ce seront les mêmes produits qu’au restaurant Au Crocodile*, les mêmes goûts, avec moins de technique, certes. L’objectif, c’est de mettre l’eau à la bouche et de donner envie de venir nous voir au restaurant ! »
Objectif : réussir le challenge de sortir de leur zone de confort
Romain Brillat, Amaury Barbado et leurs équipes vivent cette nouvelle expérience comme un challenge enthousiasmant : « Nous allons sortir de notre zone de confort, de nos habitudes, mais tout le monde est content de faire autre chose, confie Romain Brillat. Par exemple, moi je ne sors jamais en salle, mais là je vais me forcer à aller à la rencontre des clients. » Amaury sait aussi que le service sera plus rapide, avec un turn-over plus important et un service jusqu’à18h30. « Nous espérons faire au moins autant que les 600 couverts de l’édition de 2018, toujours avec un service de qualité », précise-t-il. Côté déco, le restaurant Au Crocodile*exposera des œuvres du peintre alsacien Laurent Bessot, qui « peint uniquement au pinot noir et à la bière et à qui nous avons confié notre carte des vins, précise Amaury. Le salon est l’occasion de mettre en avant… Et nous avons encore d’autres surprises ! »Le chef et le directeur se réjouissent tout autant de l’engouement de leurs prestataires et partenaires qui les suivent dans cette aventure un peu folle. « Ecotel nous prête la vaisselle et les verres Rack, MCM emballage les bocaux que nous utilisions pour la vente à emporter pour les amuse-bouche et les desserts, et tous nos fournisseurs, comme l’Ilot de la Meinau, la ferme Riedinger, les chocolats Schaal suivent le mouvement. » La décoration florale sera confiée à la fleuriste Il était une fois de la Wantzenau.
En salle, le service sera assuré en costume et tailleur comme au restaurant.Pour son premier égast, l’équipe étoilée du restaurant Au Crocodile* compte bien donner un joli aperçu de ce qu’ils savent faire, avec passion.Le restaurant sera d’ailleurs ouvert tous les soirs du salon, pour accueillir les professionnels de passage à Strasbourg pour le salon et qui souhaiteraient pousser plus loin l’expérience de cette institution strasbourgeoise…