Tous Jeux, tous Flamme !

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Partenaire premium des Jeux olympiques et paralympiques de Paris 2024 et parrain officiel du Relais de la Flamme, la Caisse d’Épargne et son antenne du Grand Est sont totalement investies pour faire de l’événement un rendez-vous utile pour tous.

Être utile aux athlètes, aux territoires et à la société, c’est tout le sens du « pacte utile » créé en 2022 par la Caisse d’Épargne, afin que les Jeux olympiques et paralympiques de Paris 2024, dont elle est l’un des principaux partenaires, puissent trouver des résonnances bien au-delà des seuls jours de compétition qui embraseront le pays. Au coeur de ce programme d’engagement, la construction d’espaces pour favoriser la pratique sportive, le soutien aux athlètes, sans oublier le partage d’émotions, au travers des différentes cérémonies pour lesquelles elle offre une multitude d’accès.

La Caisse d’Épargne Grand Est Europe a pris toute sa part dans ce vaste dispositif national. « En termes d’équipements, nous avons acheté en 2022 un terrain mobile de basket 3×3 et en avons fait don à la Ligue du Grand Est qui le prête à des collectivités et à des associations », débute Marie-Christine Rouard, directrice de la communication de l’antenne régionale. « Concernant le relais de la Flamme olympique », poursuit-elle, « nous avons notamment eu la charge de recruter 32 relayeurs individuels pour son passage dans la région. Dix d’entre eux ont été tirés au sort à partir d’une plateforme dédiée qui a recueilli plus de 2000 candidatures, alors que les 22 autres ont été choisis par nos soins, parmi nos clients et nos collaborateurs. Pour réaliser cette sélection, on est parti sur une idée simple : trouver des personnes ordinaires qui font des choses extraordinaires ».

Marie-Christine Rouard porte la flamme olympique entourée de collaborateurs.

DEUX FEMMES EXEMPLAIRES

Les noms de Constance Schaerer et d’Ilhame Raguig se sont vite imposés pour figurer sur la liste alsacienne. Toutes deux ne s’attendaient pas à un tel honneur. « Quand on m’a annoncé la nouvelle, j’ai été “choquée”, flattée et très reconnaissante. Porter la flamme, c’est un truc de ouf ! », se souvient la première. « J’ai vécu ça comme une très grande surprise », embraye la seconde. « Ce sera une grande fierté de représenter mon sport qui sera absent des Jeux ». La boxe française, dont Ilhame est sans doute la plus grande ambassadrice, ne figure effectivement pas dans la liste des disciplines olympiques, malgré son introduction aux Jeux de Paris en 1924, en tant que sport de démonstration. Multiple championne de France, d’Europe et du monde, cette gestionnaire de clientèle patrimoniale au sein de la Caisse d’Épargne a remporté un tout autre combat en 2022, en se relevant d’un cancer du sein diagnostiqué à l’âge de 35 ans. Deux mois seulement après une longue année de traitements, elle renfile les gants pour repartir à la conquête de ses titres. « Il n’était pas question pour moi de mettre un terme à ma carrière à la suite de cet épisode ». En mai 2023, elle récupère de haute lutte sa ceinture nationale – « physiquement, je suis allée au bout du bout » –, avant de décrocher l’or au Championnat d’Europe, à Zagreb, six mois plus tard.

Ilhame Raguig ©Sabrina Schwartz

Constance Schaerer, de son côté, vit le rêve de son père par procuration. De manière testamentaire, même, puisqu’il avait émis le souhait, avant de se succomber en 2007 à un cancer du pancréas, que ses cendres soient dispersées sur les plus hauts sommets de chaque continent, ceux qu’il aurait lui-même voulu atteindre. Le Kilimandjaro, en Afrique, le Mont Blanc, en Europe, et l’Aconcagua, en Amérique du Sud, ont déjà été gravis par la jeune femme de 25 ans. Fondatrice de l’association « 7 sommets contre la maladie »*, qui accompagne des enfants dont les parents souffrent d’un cancer, Constance s’attaque ces jours-ci à sa seconde ascension du Denali, en Alaska – sa première tentative ayant échoué l’an dernier, avec un retour prévu à Strasbourg quelques jours seulement avant d’y porter la flamme olympique, le 26 juin prochain, et se fixe comme objectif l’Everest en 2025. « Paradoxalement, le Denali me fait plus peur que l’Everest », racontait-elle avant son départ, « les mauvaises conditions météo y sont permanentes ».

Constance Schaerer ©Sabrina Schwartz

UNE AVENTURE HUMAINE HORS NORME

Dans ce qu’il dégage en termes de détermination, les parcours sportif et humain de Constance et d’Ilhame se superposent à ceux des athlètes que la Caisse d’Épargne soutient dans leur rêve olympique. Ils sont près de 250 à l’échelle nationale, 8 dans le Grand Est, dont 3 sur le seul secteur strasbourgeois : le paratriathlète Jules Ribstein, le basketteur Léopold Cavalière et l’escrimeuse Sara Balzer. « Ils bénéficient certes de notre soutien financier, mais aussi du support moral de toute une entreprise qui pousse derrière eux », souligne Marie-Christine Rouard. « Les échanges à bâtons rompus que nous organisons entre eux et nos collaborateurs dépassent le simple cadre sportif. Ce sont des rencontres humaines très fortes, véritablement inspirantes et pour tout dire exceptionnelles ». Il est des flammes dont on voudrait qu’elles ne s’éteignent jamais.